C’est de la chance, « Les garçons de l’été » sont en effet devenus le roman de l’été. Ce Folio était sur toutes les plages. Il était aussi dans toutes les vitrines et est même devenu le Prix Folio des libraires au début de l’été. Une belle récompense pour Rebecca Lighieri alias Emmanuelle Bayamack-Tam. Cette deuxième couverture de roman était bien partie mais le succès a été plus fulgurant que prévu. Jamais une de mes toiles n’avait été entre autant de mains.
Que vont lire les surfeurs cet été? Un Folio qui débarque dans les librairies cette semaine et qui pourrait bien être le roman de l’été!
Le titre tombe bien. Mais c’est la plume qui semble faire effet. Voir les critiques des blogueurs-dévoreurs-de-bouquin, celles des magazines de l’été comme ELLE… ou les libraires eux-mêmes, qui le trouveront dans le top 10 du prix des libraires . Un partenariat Folio – Télérama.
La couverture de ce livre est un détail de ma toile « Swell Sandra », elle-même inspirée du superbe travail d’un jeune photographe australien, artiste surfeur Kane Brown. Je raconte la petite histoire de ma rencontre avec ce photographe ici.
Rebecca Lighieri, alias Emmanuelle Bayamack-Tam, signe là un thriller ravageur. Une désintégration familiale. Bien loin de la décontraction qui régnait sur la Sunshine coast australienne le soir où l’image qui a inspiré cette peinture est née. Le surf et l’écume font néanmoins le lien entre les deux scènes. J’aime l’idée qu’une soirée de surf ait inspiré un photographe, dont le travail a inspiré un peintre, dont la toile a inspiré un éditeur. Merci Gallimard et Emmanuelle Bayamack-Tam. Bonne chance aux Garçons de l’été!
Pour les Parisiens qui souhaiteraient voir l’orignal, bonne nouvelle: cette toile a été exposée chez OFI art en 2016 et est restée en France. Acquise par la collection OFI Mécénat. Elle est visible sur rendez-vous à Paris (17eme).
« Ces tableaux me rappellent la Californie. Ils me rendent heureuse et me donnent le sourire ». Eclairer un visage comme celui de Jamie Chung est un beau job.
Jamie Chung a de nombreux films à son actif, elle est l’atout charme de la série « Gotham » et l’influente blogueuse qui se cache derrière WhatTheChung.
… un vernissage qui ne finit pas à 22 heures ». J’ai trouvé cette expression dans un joli papier sur l’aventure du premier roman. Richard Labesque est en plein vernissage depuis le mois de Juillet et pour info, vous faites partie des invités!
« La source oubliée » Richard Labesque
J’ai lu son premier roman “La source oubliée” à l’ombre d’un eucalyptus grec. Quand je l’ai refermé, j’étais fier qu’il ait retenu “Rouge” pour sa couverture. C’est un bel honneur que d’être choisi par un autre artiste pour accompagner son oeuvre.
J’ai la chance d’avoir des amateurs qui suivent mon travail et m’envoient des commentaires sympathiques depuis 45 pays. La Russie est une des communautés les plus actives. Cette interview en témoigne. Si ça ne fait pas longtemps que l’on se connaît, vous apprendrez peut-être quelque chose de nouveau en la lisant la version anglaise. Pour ceux qui ont fait option Russe, cliquez sur l’image.
Sympathique petit mail de fin d’année de Rebecca Wilson, conservatrice de Saatchi art, « juste pour vous informer que votre tableau « Swell Sandra » était retenu dans le « best of » de 2014 de la galerie ». Il y a eu l’interview « Inside the Studio ». Puis plusieurs toiles sélectionnées dans quatre ou cinq collections mensuelles (comme celle constituée par Bridget Carron à l’occasion d’Art Basel Miami). Et voilà une carte de fin d’année qui donne de l’appétit pour 2015 !
Ce magazine aura le droit de monter à bord cet été. Il traînera sans doute dans le cockpit à l’escale, entre le dernier Voiles & Voiliers, le catalogue U-ship et le pilote côtier du coin.
On s’est rencontré lors de mon exposition solo à la galerie Duvivier. Dominique Bosch tient ses promesses : le patron du premier magazine d’artistes en France m’avait promis un dossier dans son titre. Il a eu la gentillesse de me consacrer un « secret d’artiste » dans son numéro de l’été. Interview concoctée par la très sympathique journaliste Anna Lamotte dans un numéro qui sent bon la mer et les navigations à venir.
En cadeau de vacances, la couverture ! Cette petite toile de 50×50 cm (« Retour de régate ») destinée à un concours d’affiche pour les régates du Bois de la Chaize a raté sa cible… mais a trouvé les kiosques. Vous pourrez voir néanmoins l’original exposé par l’association la Chaloupe cet été sur le port de Noirmoutier. Un peu de lecture ? Les 8 pages sont là !
La première exposition a lieu il y a trois ans. Ce moment excitant et effrayant où tu prends le risque un peu fou de te déclarer. Coup de foudre. Cette deuxième peau d’artiste me plaît immédiatement. Beaucoup. On dit que trois ans, c’est la durée de l’amour. Ou bien plus longtemps paraît-il si l’on est capable de décrire le merveilleux.
Hmmm… Le merveilleux ? Il est là quand tu sens que l’œuvre en cours va être réussie. Quand tu finis une toile avec la touche de blanc pur qui fait claquer la lumière. Quand tu vois un visiteur depuis dix minutes en arrêt, le regard plongé dans un tableau. Quand un amateur réussit à décrire les émotions ressenties grâce à l’image. Quand ces émotions génèrent des rencontres surprenantes. Dans des régions du monde inattendues. Quand un collectionneur devient un ami. Quand une gallerie croit en ton potentiel et prend le risque de promouvoir ton travail. Quand tu as la chance de te sentir heureux le pinceau à la main …
Donc, je suis d’accord pour plus longtemps si c’est possible ! Cela tombe bien : juste trois ans après le coup de foudre et une demi-douzaine d’expos, Saatchi art m’a demandé une visite d’atelier et une interview pour « Inside the studio ». Ils ont décidé que je serais désormais artiste émergent. . Et comme c’est la plus grande galerie d’art contemporain on-line au monde, je dois bien envisager de les croire. C’est pas merveilleux ?
A Gif-sur-Yvette bien sûr ! J’aime bien Zabou Breitman. En la voyant jouer dans « Le premier jour du reste de ta vie » cet été là de 2008, j’ai senti que le reste de ma vie allait être différent. Et qu’il y aurait de quoi « se souvenir des belles choses ». Je me suis remis à peindre cet été là.
Or donc, Zabou, après avoir remis son César à Niels Arestrup hier soir, viendra jouer « la compagnie des spectres » sur les planches de ma ville de Gif en mars. Ceci m’offre le délicieux privilège de partager l’actualité culturelle du mois avec elle (et Anaïs). C’est beau, c’est bath, c’est chouette, comme dirait Gabin.
22 toiles seront accrochées pour cette expo « Acqua di blue », dont 4 inédites. Vernissage Vendredi 7 mars à partir de 19h00. Tout est expliqué là.