C’était le 7. Bon chiffre. Nous étions nombreux dans la galerie Duvivier, chaleureusement accueillis par Valérie dans son espace. J’adore ce moment.
Les toiles sagement accrochées au mur sont un parfait prétexte. Pour se retrouver là ce soir, pour enclencher un premier morceau de conversation. Le Champagne et les petits fours prennent le relai pour nous installer dans cet instant joyeux. Parler des peintures d’océan, c’est surtout l’occasion de retrouver plein d’amis et de faire de nouvelle rencontres. Suivre le relief d’une toile, se raconter les nouvelles des derniers mois. Toucher les couleurs, annoncer les nouveaux projets. C’est le bonheur du vernissage.
Un moment vraiment privilégié. La plupart de ceux que j’aime sont là ou représentés. Les autres m’ont laissé un mot doux et je sais qu’ils sont là tout en étant loin.
Pourquoi appelle-t-on cela un vernissage ? Parce qu’autrefois c’était l’occasion d’une soirée de « pré-ouverture » , la veille du démarrage de l’exposition, où l’artiste avait l’occasion de vernir ses toiles et de leur donner éventuellement une dernière touche avant l’ouverture au public.